samedi 29 mai 2010

L'Atari 520STe et le Commodore Amiga 600 face à face




Atari 520STe

VS

Commodore Amiga 600


Face à Face





Décidément, vous allez finir par croire que je ne jure que par ces deux marques. En effet, nous retrouvons encore une fois Atari et Commodore s’affrontant sur le ring de la micro. Ce coup-ci nous sommes dans l’arène des 16/32 bits et le combat promet d’être sans pitié. Les deux grandes marques rivales ont encore bien des points communs et il ne sera pas facile de les départager.
Mais avant tout, je vais vous expliquer pourquoi ce choix, atypique, de machines qui peuvent être considérée comme deux flops commerciaux. Tout d’abord, ce sont les deux micros grands publics, contemporains, qui ont les performances les plus proches. J’aurais pu effectivement faire un classique 520STf / Amiga 500 mais l’écart en terme de performances est plus grand. Je vais considérer ici que nous avons affaire à deux copies (mal) révisées par leurs constructeurs respectifs.
J’ajouterai, qu’il est loin de moi, l’idée, de relancer la gue-guerre ST/Amiga qui régna pendant quelques années entre les adorateurs des deux marques. Au contraire, il s’agit d’essayer d’avoir un regard critique et objectif sur ces machines quelques années après leur sortie.

Les machines testées ici sont des machines d’usines, sans aucune modification.


Qualité de Fabrication

Elle est belle ma machine, elle est belle !!!! Je vous en met combien de kilos ma p’tite dame ?

Regardons un peu notre Atari 520 STe (pour Extended). Il reprend le très classique boîtier de ses illustres ancêtres 520 STf et 1040 STf arborant leur, désormais célèbre, robe grise. Le bloc d’alimentation est intégré dans la machine, ce qui est pratique puisque aucun boîtier externe ne vient s’emmêler dans vos gros pieds traînant sous la table, moyennant par contre, une sur chauffe de la machine en cas d’utilisation prolongée. Le clavier est, quand à lui, agréable bien que la frappe soit un peu molle. La disposition des touches est bonne et bien visible. Les touches de fonction sont bien intégrées dans la coque, quoique d’aspect un peu cheap. Le lecteur de disquette, disposé sur le coté est bien accessible tout comme les différents ports d’extensions qui parsèment la machine. A l’exception des deux ports joysticks / souris situés sous l’engin, ce qui, à la longue est assez agaçant. Nous avons droit à la bonne vieille souris deux boutons Atari, toujours aussi peu agréable au touché.
Dans l’ensemble la machine est bien assemblée et semble robuste.

 Du coté de Commodore, c’est la révolution et nous avons droit à un mini Amiga. En fait le plus petit jamais construit. Le bloc d’alimentation est ici externe, ce qui permet de gagner en volume et en chauffe. Par contre vos pieds …. La machine abandonne la robe beige de l’Amiga 500 pour un blanc cassé du plus bel effet. Renforcé d’ailleurs par la présence de touches marrons. La frappe du clavier est très agréable et les touches relativement bien disposées. Le seul réel défaut venant de l’absence de pavé numérique. L’ensemble des connecteurs est bien accessible malgré la petite taille de la machine et le tout est bien pensé comme la présence d’une trappe sous la machine permettant de faire évoluer la mémoire sans l’ouvrir. Ici aussi, la souris ne change pas mais demeure plus agréable que sa rivale. La qualité de fabrication est excellente et les plastiques utilisés inspirent confiance.

Dans l’ensemble nous avons affaire à deux machines de bonne qualité mais je donnerais une longueur d’avance à notre sympathique petit ami, l’Amiga 600. Pour, justement son coté mini et ses finitions (ex led "caps lock" intégrée dans la touche) un cran supérieures à l’Atari.


Spécifications Techniques des Machines

Ok, elles sont bien jolies ces machines mais qu’est-ce quelles ont dans les tripes ?


Atari 520 STe
Amiga 600
Processeur
Motorola 68000@8Mhz
Motorola 68000@7.14Mhz
Mémoire RAM
512 Ko
1024 Ko
Graphismes
320x200x16c – 640x200x4c – 640x400 Mono /  Palette de 4096c
320x200x32c à 1440x566/4c (entrelacé & overscan) + modes spéciaux HAM et Half Bright / Palette de 4096c
Son
3 voies sur 8 octaves + 2 voies PCM
4 voies digitales
Mémoire de Masse
1 Lecteur 3 ½ DF/DD de  720ko
1 Lecteur 3 ½ DF/DD de 880 Ko

Pour être à peu prés exhaustif ajoutons que le STe dispose d’un blitter et l’Amiga 600 d’une architecture multitâches obtenue grâce à 3 coprocesseurs qui viennent épauler le CPU, j’ai nommé Denise, Paula et le Fat Agnus … Mais nous verrons cela plus en détail par la suite.

Sur le papier l’Amiga met les bouchées doubles et laisse sur place son rival de toujours. Assistons-nous à un KO ?
Suivez-moi !! C’est en dessous que cela se passe !!!


Processeur

Ici nous n’avons pas grand-chose à dire puisque ce sont les mêmes processeurs, cadencés à des vitesses différentes.
L’Atari avec ses 0.86Mhz supplémentaires  décroche un direct du droit et prend donc l’avantage.


Mémoire

Question capacité Ram le ST est bien moins loti que son rival et affiche une mémoire de 512 ridicules Ko. De son coté l’Amiga nous offre 1024 Ko soit le double rien de moins.
Le ST est extensible à 4 Mo et l’Amiga à 6Mo. Le match semble joué d’avance.
Sauf que pour étendre l’Atari à 4 Mo, il vous suffira de changer les barrettes SIMM de 256 Ko d’origine par 4 magnifiques barrettes de 1Mo tout ce qu’il y a de plus standard. Au prix, il est vrai d’un démontage peu pratique de la machine. Et qui, au passage, fera sauter la garantie… Mais comme cela fait 20 ans qu elle est passée on s’en tamponne un peu.
Du coté de l’Amiga, il est très simple de l’étendre à 2 de Mémoire grâce à une carte que l’on insère dans la trappe située sous l’Amiga. Par contre pour passer à 6 Mo, il faudra vous procurer une carte d’extension au format PCMCIA (plus ou moins propriétaire) et la, ça ne va pas être simple.

Sur ce plan les deux machines font donc jeu égal avec d’un coté une machine mieux nantie de série et de l’autre une facilité d’extension que l’on aimerait trouver plus souvent sur des machines de cette époque.

Le match nul semble donc indiscutable.


Graphismes

Coté Atari, le 520STe apporte, comme unique nouveauté sur le plan graphique, la présence de 4096 couleurs au lieu de 512 ce qui lui permet de se battre à armes égales avec son rival de toujours. Coté résolution ce n’est pas la panacée et il faudra vous contenter du 320x200x16c, du 640x200x4c ou du 640x400 monochrome (avec moniteur spécial). La machine commence à vieillir et cela se sent. HA !!! J’entends déjà les hurlements indignés des Ataristes disant que je parle pas des softs qui affichent plein de couleurs etc … Ok j’ajoute donc qu’il est possible d’afficher plus de couleurs à l’écran que les 16 dispo de base. Mais cela au prix de bidouilles de programmation qui font que ce n’est pas faisable par monsieur tout le monde. Mais je cède sur ce point et je dirais donc que certains softs utilisent ces fonctionnalités.

Mais trêve de plaisanterie voici quelques captures d’écran :



































C’est donc globalement plutôt bien mais voyons comment se défend son adversaire.

Coté Amiga, c’est un tout autre monde. Le 600 reprend le chipset ECS (Extented ChipSet) du 500+ qui est une évolution du chipset original OCS (Original ChipSet). Ici le nombre de résolutions disponibles est gargantuesque et je ne citerai que les plus représentatives.

Commençons donc par le basic  320x200x32c (deux fois plus de couleurs que son rival), pour continuer par du 640x256x16c et monter jusqu’au, très peu lisible sur une TV, 1440x566x4c obtenu grâce à l’utilisation simultanée de l’overscan (plein écran) et du mode entrelacé. Bon ok la résolution est énorme mais au bout de 2 minutes vous aurez les yeux qui pleurent si vous ne disposez pas d’un écran multi synchro.

Il existe également des modes HAM qui permettent d’afficher simultanément les 4096 couleurs de la palette aux prix d’une utilisation intensive du CPU et des modes Half Bright qui permettent de doubler le nombre de couleurs à l’écran pour faire par ex du 320x200x64c.Il conviendra d’ajouter également la possibilité de faire de l’overscan c'est-à-dire du plein écran total (finit les bords noirs autour de l’écran) et la possibilité d’utiliser un mode entrelacé (interlace) qui double le nombre de lignes affichées à l’écran mais qui génère un clignotement très fatiguant.

La majorité de ces modes étant disponible depuis l’Amiga 1000, ils sont donc tous très largement utilisés dans les logiciels et ils ont également contribués à faire de l’Amiga la machine préférée des graphistes et vidéastes de l’époque.

Pour résumer en images :





































Et encore, il est bien difficile de résumer l’Amiga en 6 images. Pardonnez ce choix pas forcement très représentatif.

Mais bon, rien à redire, coté Amiga on est quand même un cran au dessus de la melée.


Animation

C’est bien beau de faire de belles images, mais si on arrive à faire bouger tout cela c’est quand même mieux.

Coté Atari, on est pas très bien servit et il faudra se contenter du shifter, pour animer la bête. Par contre, sur le STe, on a droit à une version améliorée qui introduit les scrolling câblés (hardware) dans toutes les directions, comme un Amiga. Et c’est justement la que le bas blesse, car ici aussi, le STe n’innove pas vraiment et essaie péniblement de se remettre à niveau par rapport à la concurrence. Le STe introduira aussi le blitter chez Atari. Il est alors possible de faire de belles choses sur ST sur le plan des animations de jeux. A vous les super scrollings, les sprites etc … Mais, comme pour la palette de couleurs étendue, bien de peu de softs en tirerons partie.

Ce diablotin d’Amiga, possède, lui, et ce depuis la première génération, d’un blitter (appelé Fat Agnus) et d’un circuit graphique (Denise) qui prennent en charge pas mal de fonction comme la gestion des sprites (8), les scrollings, le délestage du CPU pour ce genre d’opération etc. Il en résulte donc des capacités certaines dans le domaine des jeux d’action etc.. Il suffit de voir des logiciels tels que Battle Squadron, Shadow of the Beast, Sword of Sodan pour en être convaincu.

Avantage indubitable à l’Amiga dans ce domaine.


Son

Penchons, nous maintenant sur les capacités sonores des deux bestioles. Vas-t-on devoir se contenter d’écouter la 9eme de Beethoven jouée avec des instruments proches du pipeau joué par une classe de 6eme en cours de musique ? Que nenni mon bon monsieur !!

Le chipset sonore Yamaha YM8192 de notre Atari se voit épaulé de deux voies 8 bits PCM mixables. En clair, l’Atari utilise un bon vieux processeur sonore, Le YM 8192, qui génère 3 voies sur 8 octaves. C’est notre pipeau.. Il faut dire que ce processeur date un peu et était déjà utilisé par les Oric, les MSX etc.. Atari ne s’était pas franchement foulé de ce coté la. Et cela s’entend. C’est pour cela que, sur le STe, on va lui rajouter deux voies 8bits PCM, pour qu’il nous joue de belles musiques digitalisées comme son rival. Celui-ci peux donc jouer des samples jusqu'à 50Khz ce qui est plutôt bien pour l’époque. On a même droit à deux sorties cinch pour brancher notre ordinateur favori sur une chaîne hi-fi et en prendre ainsi plein les oreilles.

Le son était bien le domaine de l’Amiga et est géré par Paula (c’est le nom du chipset sonore). Celle-ci nous siffle la marseillaise sur quatre voies digitales et 9 octaves. Inutile de dire que pour l’époque c’était carrément révolutionnaire. Il en résulte donc un son de très grande qualité. Ici aussi, on a la possibilité de brancher la machine sur un ampli hi-fi histoire de faire criser les voisins !!! Les samples sont joués à 22Khz. C’est un peu moins bien que le STe. Pour terminer, précisons que l’Amiga dispose également d’un module de synthèse  vocale intégré.

Commodore avait fait très fort dés le départ mais se laisse rattraper, et dépasser par Atari dans le domaine. Par contre, comme toujours, sur Atari très peu de softs tirent partit de ces capacités étendues alors que sur Amiga tout est exploité à fond.

Pas facile de trancher pour le coup !!

Je mettrai 1 partout. Le STE est plus puissant avec sa gestion des samples jusqu'à 50Khz mais trop peu exploité.


Système

Autant sur les machines 8 bits, le système d’exploitation n’était pas très important, autant sur les machines 16/32 bits il est primordial. En effet, c’est lui qui gère l’interface graphique et chose maintenant courante, la souris. Car c’est une réelle innovation sur ces machines, elles ne se commandent plus au clavier mais à la souris avec plein de jolies icônes en couleurs et tout et tout. Plus besoin d’être un schizophrène de la ligne de commande. Tout se pilote au doigt et à l’œil.

Coté Atari, nous avons droit au GEM  qui ressemble à cela :


La souris règne en maître et le clavier n’est absolument pas indispensable pour faire toutes les opérations de base comme copier une D7, la formater, copier des fichiers etc…
L’interface reprend largement le finder du Mac (comme les accessoires)  sans en avoir toutefois la classe. Elle est cependant relativement intuitive, facile et agréable à utiliser.
Par contre, elle montre vite ses limites et l’absence de ligne de commande ne vous permettra pas de faire quelques petits shells bien sentis.

Coté Amiga, nous avons droit au Workbench dont voici une copie d’écran :


Il s’agit de la version 2.0 du Workbench livrée avec l’Amiga 600. Ici aussi, la souris est reine et tout est faisable du bout du doigt. Par contre, le workbench dispose d’un vrai shell type Unix qui permet d’aller beaucoup plus loin que le GEM. En effet, celui-ci est relativement puissant et vous pouvez par exemple, faire des Ram-disks résidents, pour booter l’Amiga depuis la ram, tel un disque dur, ou encore ouvrir une session sur un périphérique auxiliaire (comme un terminal) etc.. J’avais d’ailleurs fait le test à l’époque avec un minitel.
Il suffit d’avoir un cable minitel <> micro, de regler votre port serie en 1200 bauds 7 bits (de mémoire) et d »ouvrir un shell depuis votre Amiga sur le périphérique Aux : (je crois, ou com ). Vous devriez alors voir apparaître un prompt sur votre Minitel. Celui-ci se comportera alors comme un terminal. Cool Non ?
De plus, contrairement à l’Atari, l’Amiga, grâce à son architecture à base de co-processeurs, permet de faire du vrai multi-tâches. Il est ainsi possible de copier des disquettes tout en dessinant sur Deluxe Paint et en se jouant un petit module avec un tracker quelconque. Vous êtes en fait juste limité par la Ram et la puissance du processeur. Ceci est assez bluffant pour une machine de cette époque. 

Le Workbench écrase donc le Gem  sans trop de difficultés.


Programmation

Sur les Machines de cette génération, les langages de programmation ne sont plus en ROM mais bien livrés sur disquette. Dans le cas présent nous avons droit à deux basic qui sont relativement performants. J’ai entendu dire que celui de l’Amiga était carrément bien et surclassait celui du ST… Mais bon, vous n’allez vous arrêter au langage livré de serie et, avide, de changement et de performance il vous faudra le nec plus ultra. Rassurez-vous !! Sur les deux plateformes on trouve de tout et vous pourrez pisser de la ligne de code dans à peu prés n’importe quel langage de l’époque.

Question choix les deux machines semblent se valoir mais je donnerai une mention à l’Atari et à son célébre GFA Basic, facile, rapide et performant.


Logiciels Disponibles

Encore un terrain sur lequel nos machines ne s’en laissent pas compter !! En effet, on trouve de tout, du meilleur comme du pire et dire quelle machine possède la logithèque la plus fournie n’est pas chose aisée. On peut globalement dire que les domaines couverts sont très vastes et beaucoup de softs, surtout les jeux, existent sur les deux plateformes. En général, ils sont mieux réalisés sur Amiga car ils exploitent les capacités, supérieures, des machines de première génération. Ceci dit les softs sur ST exploitent également bien les capacités de la machines, même si elles sont moindre. 

J’avoue ma préférence pour l’Amiga en ce domaine mais il faut être juste et le ST s’en tire bien. Match nul.


Périphériques Disponibles

Ici aussi les machines font jeu égal. On trouve de tout, du lecteur de D7, au disque dur, des modems en passant par le boîtier midi (intégré sur ST), jusqu'à la capture video ou autre scanner. Par contre il convient de faire quelques précisions :


  • Le STe possède 4 ports joysticks dont 2 analogiques contre seulement 2 pour l’Amiga.
  • L’Amiga 600 dispose d’un port IDE 2’’ ½ intégré pour brancher un disque dur, alors que sur ST il faudra connecter un disque externe.
  • Le STe dispose d’un port cartouche, pas l’Amiga.
  • Ils disposent tout deux d’un port série et d’un port imprimante.
  • On peut chaîner jusqu'à 4 lecteurs de disquettes sur Amiga. Le ST se contente d’un seul lecteur externe.
  • Les lecteurs de disquettes Amiga disposent de la reconnaissance d’insertion de disquettes. Pas le ST.
  • Le ST dispose de 2 prises Midi en standard, pas l’Amiga.
  • L’Amiga 600 dispose d’un port PCMCIA pas le ST.

Il conviendra aussi de préciser que le format des disquettes Atari est au standard PC (Oui monsieur) , vous pourrez donc facilement transférer les images récupérées sur le Net et donc vous éclater sans trop de problèmes sur votre bon vieux Xenon. Les outils pour faire les transferts marchant plutôt bien.
Coté Amiga, il faudra faire montre d’un peu plus de perspicacité et plonger dans les méandres des transferts série et du DMS. Autant dire que votre bon vieux Xenon, il vas falloir le mériter. Mais d’un autre coté, il n’aura pas la même saveur….

Voila, je ne crois pas avoir oublié grand-chose. Si, le verdict …

Grosso Merdo je pencherai pour un match nul ici aussi.


Conclusion

Faisons donc un petit tableau pour récapituler tout cela :


Atari 520 STe
Amiga 600
Qualité de Fabrication
0
1
Processeur
1
0
Mémoire
1
1
Graphisme
0
1
Animation
0
1
Son
1
1
Système
0
1
Programmation
1
0
Logiciels
1
1
Périphériques
1
1
Total
6
8


On voit bien ici que ces deux machines sont très proches l’une de l’autre mais l’Amiga balance un direct du bouton droit de la souris dans le port cartouche du STe et celui-ci tombe KO par terre !!

Allez, j’aime bien le STe mais, sincèrement, l’Amiga est quand même un cran au dessus. J’ajouterai aussi qu’il fallait avoir une bonne dose de mauvaise foi pour dire que le 520STf était supérieur à l’Amiga 500, mais je ne voudrais pas m’étendre sur un sujet clos depuis longtemps.

FIN

3 commentaires:

  1. bonjour, j'aime bien le contenu de votre blog.
    pourrait-on envisager un echange de lien entre nous ? j'ai un blog retrogaming : http://galamoon.blogspot.com/
    ce serait sympa, nous avons des infos complémentaires. merci

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  2. Et voila un petit lien sur votre site qui m'a l'air assez sympa. Il faut que je prenne un peu de temps pour explorer vos packs ... @++

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  3. merci ! je vous ai mis un lien à gauche sur ma page d'accueil

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